« …donne vie à une nouvelle forme de tourisme et invite le voyageur à vivre une expérience inédite, associant la mise en valeur de territoires, la démocratisation de l’art, le croisement des publics et la mise en lumière du patrimoine oublié (inaccessible via les institutions touristiques traditionnelles).
D’un ancrage local, le Tourisme Imaginaire rayonne dorénavant bien au-delà des frontières du Tarn. Ses membres actifs travaillent toute l’année pour développer les différents champs d’investigation de l’association à savoir : la création artistique, le développement touristique, l’action culturelle et pédagogique, l’action patrimoniale, et la mise en place de partenariats.
Vitrine publique du Tourisme Imaginaire, son circuit en bus en est devenu l’évènement phare Par ses visites guidées, il propose une relecture innovante d’un patrimoine oublié vu à travers le prisme de l’art contemporain et du spectacle vivant.
Depuis 6 ans il rencontre le succès en affichant complet.
… une nouvelle façon d’appréhender un territoire.
Aujourd’hui le Tourisme Imaginaire expérimente une nouvelle forme de valorisation territoriale en instituant la ville de Saint Pons de Thomières Capitale de l’Occitanie.
Quelle idée folle de prétendre qu’une petite ville, sous réserve de la déplacer de quelques centimètres, devienne la nouvelle référence régionale aux dépens de Toulouse et Montpellier.
Mais la création n’est-elle pas celle qui rend une autre réalité possible?
Puisqu’elle n’a pas besoin d’autorisations, qu’elle expérimente, qu’elle ose affronter et se confronter, qu’elle entreprend, bref qu’ elle est vivante.
Remise en cause politique, administrative et conceptuelle, Saint Pons Capitale la nouvelle proposition pour 2018 de l’Agence Tourisme Imaginaire interroge notre regard en proposant un autre point de vue sur un territoire : un petit pas pour une ville, un grand bond pour l’imaginaire.
Mettre en scène, contre toute attente, une réalité qui n’existe pas encore, présenter une vision du monde décalée qui impose une réflexion sur le vrai.
La culture n’attend pas, elle y va… »
